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Imagine que tu sois dans un bateau et que celui-ci échoue sur une île déserte paradisiaque. Quelle n’est pas ta surprise et celles des trois cents autres passagers que de voir que vous avez à disposition des cabanes aménagées simplement mais fonctionnelles, des champs cultivés permettant selon les récoltes de vivre de la terre, des éoliennes fournissent de l’énergie, une rivière de l’eau, la nature est luxuriante remplit de parfums et de milles couleurs.
Le tableau est idyllique et serait un rêve pour beaucoup d’entre nous, n’est-ce pas ?
Et pourtant, tout cela ne restera qu’un rêve ! Combien de temps penses-tu qu’il faille pour avoir des problèmes dans cette mini société ? Déjà, nos navigateurs vont devoir s’acclimater à ce nouveau lieu qui même s’il est beau et super pour des vacances reste simple et rudimentaire comparé à leur confort passé. Ils devront également faire le deuil de leur vie passé, lâcher-prise sur leurs professions, sur leurs biens de l’autre côté de l’océan ! Ensuite ils vont devoir apprendre le vivre ensemble avec tout ce que cela comporte dans la merveilleuse mais néanmoins difficile alchimie des relations humaines. Combien de temps faudra-t ’il pour avoir une bonne entente dans le groupe ? Ils pourront mettre à profit leurs compétences en gouvernance partagée pour régir le fonctionnement de notre mini-société, dans la façon d’organiser le travail, la répartition des richesses, la préservation de l’environnement et aussi comment gérer les conflits.
Cependant est-ce suffisant ?! Car dès que le premier naufragé a mis son pied sur cette ile idyllique il l’a contaminé avec le « virus PEC »*. Notre « mini société » de 300 personnes va importer sur cette ile pourtant paradisiaque un virus invisible mais néanmoins dévastateur. Ce virus commence par altérer les relations et ensuite les détruire. L’impact se fait ressentir un peu plus tard sur le corps avec des effets psychosomatiques. La nature est ensuite touchée et un déséquilibre profond et quasi irréversible touche la bio-diversité et les équilibres naturelles.
Le maillon faible est le facteur humain !
Malgré la mise en place d’une gouvernance partagée, les problèmes peuvent surgir de toutes parts sans crier garde. Deux personnes avec des égos surdimensionnés pourraient avoir cette idée de devenir chef et entraîneraient une guerre de pouvoir, peut-être la peur entraînera une quête effrénée de sécurité pour assurer ses arrières et aboutir à la scission du groupe avec un groupe de cigales et un groupe de fourmis, peut être que certains motivés par la cupidité se lanceront dans une accumulation de richesses au détriment de personnes plus faibles. Que se passera-t-il le jour où une tempête va détruire les récoltes ? Comment vont réagir les gens en tant que groupe et également individuellement ? C’est très facile de prendre les choses personnellement, de devenir jaloux de son voisin, d’avoir peur de soi des autres, de ne pas se sentir à la hauteur, d’avoir des bouffées de perfectionnisme pour essayer de contrôler la situation lorsqu’elle nous échappe, de vouloir exister à travers nos égos…il existe des centaines d’exemples individuels qui peuvent gripper l’œuvre collective, cela sans compter la démultiplication des problèmes par le nombre d’interactions !
Finalement que nous soyons 300 ou 30 millions, les problèmes subsistent et ce n’est pas le fait de créer un monde idéal matériellement qui sera la solution, le maillon faible reste et restera le facteur humain !
Comme il est décrit dans les 95 thèses (thèse 65 et fin de la thèse 66) pour construire une société qui tend à être idéale, il nous faut respecter un ordre de construction : la base de l’édifice est relationnelle et il faut que celle-ci soit solide pour que le reste de l’édifice puisse être stable.
Il n’y a pas cinquante solutions pour assurer cette stabilité, il faut que le virus PEC soit neutralisé (comme décrit dans les 95 thèses) et que chacun d’entre nous prenne un chemin pour marcher en liberté.
Dans ce qui va suivre nous allons aborder le deuxième point : marcher en liberté.
Pour prendre une image, je dirais que chacun d’entre nous de part son histoire personnelle porte un sac à dos qui est plus ou moins lourd en fonction des évènements que nous avons vécu et de la façon que nous avons eu de les gérer. Comme la vie n’est pas tous les jours rose, il faut apprendre à s’alléger et pour se faire je vais vous présenter maintenant un outil de coaching extraordinaire pour travailler sur soi : il s’agit du modèle holistique.
Il est le fruit de plusieurs milliers d’heures de recherches et cogitations réparties sur sept ans afin d’obtenir une description globale du fonctionnement des êtres humains.
Maintenant vous avez la possibilité de faire du développement personnel avec un outil unique au monde (pour de vrai, c’est pas une blague ou un argument marketing pour vous le vendre car c’est gratuit !) Il est unique car il aborde toutes les dimensions de l’être (physique, émotionnel, mental, identité et personnalité) et intègre les interactions entre les différents éléments constituants un être humain (19 sphères)
Avant d’utiliser le modèle holistique je vous conseille de consultez les deux fichiers suivants pour bien comprendre de quoi il s’agit :
Introduction au modèle des 19 sphères (3 pages)
Fonctionnement du modèle des 19 sphères (9 pages)
Et ensuite c’est parti : Entrer dans le modèle